101 a été créé et présenté dans une structure de protestation démocratique. Un collectif s’est réuni pour examiner différentes idées, programmes et disciplines, en testant les limites de ce qui se produit lorsqu’ils sont contraints à des collisions inattendues.
101 a été présenté à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris lors de leur événement annuel Corps et Artivisme.
Un élément central de la performance était le chant en boucle de la chanson iconique Dream Baby Dream de Suicide, qui servait de bande sonore hypnotique et persistante. La qualité répétitive, semblable à un mantra, de ce chant faisait écho à la nature implacable de la protestation elle-même—l’écho continu d’une exigence de changement.